..." autant demander au pape d'avouer avoir rompu son voeux de chasteté " (L'oeil du prince)
L'Histoire du Pont du Gard, du IIIème siècle après J.C jusqu'à nos jours...
Algérie 1945 : les manifestations célébrant la capitulation nazie se transforment en émeutes sanglantes...
La naissance de ce roman (virtuel) est liée à celle du film "Un œil sur les RG"...
Le récit de la carrière de Roger Marion, ancien patron de la Division nationale antiterroriste...
Contrairement à mes prévisions pessimistes, cet ouvrage collectif de plus de 700 pages a été un succès...
A l'occasion du centenaire de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'Etat que j'ai été conduit à retravailler sur la laïcité...
J'avais un jour lu dans Le Monde des livres que, pour un auteur, le second roman était bien plus difficile à écrire que le premier. Et que certains n'y parvenaient jamais. Afin de conjurer le sort, je me suis dépêché de faire naître de nouveaux personnages.
L'action de Mon colonel se situait au tout début de ce que l'on avait pudiquement nommé les événements d'Algérie. Celle de In nomine patris se déroulerait juste après leur épilogue, après la proclamation de l'Indépendance.
Il s'agissait cette fois de lycéens Pieds-noirs se jetant corps et âmes dans le combat perdu d'avance des derniers partisans de l'Algérie française.
Sous la conduite d'un curé, ancien aumônier militaire et membre de l'OAS, ils distribuaient des tracts, collaient des affiches avant de passer à l'étape supérieure et de déposer des bombes.
Une fiction qui n'en était pas vraiment une puisque, moi aussi, dans les années 1961-1962, j'avais suivi le même parcours. En m'arrêtant toutefois au seuil de l'action violente.
Avec la parution de mon second roman, je suis entré dans le club informel des "auteurs de noir" et j'ai été invité dans les divers salons qui célèbrent cette forme d'écriture toujours considérée, en France tout du moins, comme inférieure à la "littérature blanche".
"Lycéens Pieds-noirs se jetant corps et âmes dans le combat perdu d'avance des derniers partisans de l'Algérie française"