..." autant demander au pape d'avouer avoir rompu son voeux de chasteté " (L'oeil du prince)
L'Histoire du Pont du Gard, du IIIème siècle après J.C jusqu'à nos jours...
Algérie 1945 : les manifestations célébrant la capitulation nazie se transforment en émeutes sanglantes...
La naissance de ce roman (virtuel) est liée à celle du film "Un œil sur les RG"...
Le récit de la carrière de Roger Marion, ancien patron de la Division nationale antiterroriste...
Contrairement à mes prévisions pessimistes, cet ouvrage collectif de plus de 700 pages a été un succès...
A l'occasion du centenaire de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'Etat que j'ai été conduit à retravailler sur la laïcité...
Au cours d'un repas sur la terrasse de ma maison familiale de Montpellier, le réalisateur Guy Girard m'a demandé de travailler avec lui sur les Renseignements généraux.
Il avait lu mon livre grâce à son épouse, Lise Beaulieu que j'avais connue à la faculté de Nanterre en 1967, et voulait en tirer un film. Quelques mois plus tard, nous étions à Toulouse où nous avons passé avec l'équipe de tournage deux semaines en immersion totale dans le Service régional des RG. Munis de cartes d'accès magnétiques, nous
prenions notre service tous les matins à l'hôtel de police et suivions les fonctionnaires dans leurs missions du jour : accompagnement de manifestations, interventions dans un conflit social, filatures de dealers, surveillances de mosquées...
Notre seule contrainte avait été de faire en sorte que les visages de certains policiers et de leurs " cibles " ne soient pas reconnaissables. Il faut dire que nous disposions de l'aval de Yves Bertrand, le patron des RG et de Claude
Guéant alors directeur de cabinet du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, deux hommes que j'avais beaucoup fréquenté lorsque je m'occupait de la rubrique police de Libération.
Le patron du service régional, Joël Bouchite, qui a succédé depuis à Yves Bertrand, et son adjoint Christian Balle-Andui, nous avaient donc ouvert toutes les portes. Toutes, sauf celle du bureau où se déroulaient les écoutes téléphoniques car le lieu était protégé par le secret défense.