..." autant demander au pape d'avouer avoir rompu son voeux de chasteté " (L'oeil du prince)
Série d'émissions consacrées à Jean Moulin.
Portrait des Renseignements généraux...
Dans la collection "Combien de divisions ?" une radiographie de la police française...
La première affaire d'interdiction du port de "foulards islamiques" dans un lycée public.
Le titre du livre m'avait été soufflé par le président de la République Valéry Giscard d'Estaing...
La première " œuvre " que j'ai livré au public (…) A l'époque, j'étais motard...
J'ai découvert en écrivant cette série policière les joies d'avoir à se conformer à un "cahier des charges". Chacun des cinq épisodes de sept minutes devait être autonome tout en faisant partie d'une " entité dramatique " et devait se dérouler dans un seul décor.
Quand aux personnages, il devaient être trois au maximum par épisode avec une parité homme/femme dans la série. Un
défi pour le débutant que j'étais. Je me suis longuement débattu, j'ai écrit, réécrit et j'ai finalement réussi à construire mon histoire, celle de la recherche des causes du décès d'un détenu pédophile trouvé mort dans sa cellule fermée.
La série a été enregistrée dans un studio de la Maison de la radio mais le résultat a été jugé tellement médiocre
autre enregistrement avec d'autres comédiens, dont mon ami Jean-Louis Millet dit Mimille, a été réalisé à Lausanne en décors réels par la Radio Suisse-Romande.
Le mystère de la cellule 31 a été diffusé en France mais aussi sur les ondes des radios francophones. Ecouté en Belgique, en Suisse et au Québec, j'avais acquis une stature internationale!
"Je me suis longuement débattu, j'ai écrit, réécrit"