..." autant demander au pape d'avouer avoir rompu son voeux de chasteté " (L'oeil du prince)
Série d'émissions consacrées à Jean Moulin.
Portrait des Renseignements généraux...
Dans la collection "Combien de divisions ?" une radiographie de la police française...
La première affaire d'interdiction du port de "foulards islamiques" dans un lycée public.
Le titre du livre m'avait été soufflé par le président de la République Valéry Giscard d'Estaing...
La première " œuvre " que j'ai livré au public (…) A l'époque, j'étais motard...
J'avais un jour lu dans Le Monde des livres que, pour un auteur, le second roman était bien plus difficile à écrire que le premier. Et que certains n'y parvenaient jamais. Afin de conjurer le sort, je me suis dépêché de faire naître de nouveaux personnages.
L'action de Mon colonel se situait au tout début de ce que l'on avait pudiquement nommé les événements d'Algérie. Celle de In nomine patris se déroulerait juste après leur épilogue, après la proclamation de l'Indépendance.
Il s'agissait cette fois de lycéens Pieds-noirs se jetant corps et âmes dans le combat perdu d'avance des derniers partisans de l'Algérie française.
Sous la conduite d'un curé, ancien aumônier militaire et membre de l'OAS, ils distribuaient des tracts, collaient des affiches avant de passer à l'étape supérieure et de déposer des bombes.
Une fiction qui n'en était pas vraiment une puisque, moi aussi, dans les années 1961-1962, j'avais suivi le même parcours. En m'arrêtant toutefois au seuil de l'action violente.
Avec la parution de mon second roman, je suis entré dans le club informel des "auteurs de noir" et j'ai été invité dans les divers salons qui célèbrent cette forme d'écriture toujours considérée, en France tout du moins, comme inférieure à la "littérature blanche".
"Lycéens Pieds-noirs se jetant corps et âmes dans le combat perdu d'avance des derniers partisans de l'Algérie française"