TOUS LES OUVRAGES
Vendetta corsa
Editions Noesis. Paris 2003.
(Roman)

Une fois de plus, j'étais en Corse. Je voulais oublier un peu le thème de la guerre d'Algérie...

Un œil sur les RG
Documentaire pour France 2 2003.
(Document vidéo)

Le réalisateur Guy Girard m'a demandé de travailler avec lui sur les Renseignements généraux...

Le commissaire et Paméla
Série radiophonique pour France Bleue. Radio France 2002.
(Fiction audio)

L'histoire du juge tombé amoureux d'une prostituée...

De Dunkerque à Tamanrasset
Atelier de création radiophonique Provence-Méditerranée.
Radio France 2002.
(Fiction audio)

L'exode des Pieds-noirs, fiction et interview mêlées...

Le don du sang
Editions Actes Sud. Paris-Arles 2001.
Roman)

Une idée du cinéaste Costa Gavras autour du thème de l'humiliation.

Le mystère de la cellule 31
Série radiophonique pour France Bleue. Radio France 2001.
(Fiction audio)

J'ai découvert en écrivant cette série policière les joies d'avoir à se conformer à un "cahier des charges".

Montpellier, métropole du sud.
Librairie Arthème Fayard. Paris 2001.
(Document livre)

Un ouvrage présentant l'histoire de la ville de Montpellier depuis sa fondation jusqu'à nos jours.

L'affaire Markovic
Documentaire pour France 3. 2001.
(Document vidéo)

Stephan Markovic, jeune yougoslave en exil devenu garde du corps d'Alain Delon...

In nomine patris
Editions Actes Sud. Paris-Arles 2000.
(Roman)

Des lycéens Pieds-noirs se jetant corps et âmes dans le combat perdu d'avance des derniers partisans de l'Algérie française...

Mon colonel
Editions Actes Sud. Paris-Arles 1999.
(Roman)

Je préparais depuis longtemps un ouvrage sur les premières années de la guerre d'Algérie...

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IN NOMINE PATRIS

Editions Actes Sud. Paris-Arles 2000.
(Roman)

J'avais un jour lu dans Le Monde des livres que, pour un auteur, le second roman était bien plus difficile à écrire que le premier. Et que certains n'y parvenaient jamais. Afin de conjurer le sort, je me suis dépêché de faire naître de nouveaux personnages.

L'action de Mon colonel se situait au tout début de ce que l'on avait pudiquement nommé les événements d'Algérie. Celle de In nomine patris se déroulerait juste après leur épilogue, après la proclamation de l'Indépendance.

Il s'agissait cette fois de lycéens Pieds-noirs se jetant corps et âmes dans le combat perdu d'avance des derniers partisans de l'Algérie française.

Sous la conduite d'un curé, ancien aumônier militaire et membre de l'OAS, ils distribuaient des tracts, collaient des affiches avant de passer à l'étape supérieure et de déposer des bombes.

Une fiction qui n'en était pas vraiment une puisque, moi aussi, dans les années 1961-1962, j'avais suivi le même parcours. En m'arrêtant toutefois au seuil de l'action violente.

Avec la parution de mon second roman, je suis entré dans le club informel des "auteurs de noir" et j'ai été invité dans les divers salons qui célèbrent cette forme d'écriture toujours considérée, en France tout du moins, comme inférieure à la "littérature blanche".

"Lycéens Pieds-noirs se jetant corps et âmes dans le combat perdu d'avance des derniers partisans de l'Algérie française"

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