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« Papa a fait une connerie mais le fond du dossier n’a pas changé. » Florent, un des deux fils de l’accusé, tente de ne pas sombrer dans le désespoir.
« Je me dis que ce qui s’est passé à l’audience d’aujourd’hui n’est pas le pire qui nous soit arrivé. Avant, il y avait eu le décès de maman et puis l’incarcération de papa... »
Après la découverte de la machination montée par leur père, les enfants de l’accusé qui croient en son innocence ne savent plus quoi dire pour le défendre. Quant au beau-père de Jean-Michel Bissonnet, qui avait affirmé le matin même à la barre que l’accusé était pour lui l’exemple du gendre parfait, il a quitté le palais de justice, effondré.
Refusant de douter de l’innocence de son père, Florent ne s’en pose pas moins des questions. D’abord sur le fonctionnement de la machine judiciaire : « Tous nos faits et gestes sont interprétés. C’est dur d’avoir à expliquer en public que nous étions une famille simple et équilibrée… Ça me fait peur de voir que la vie est si compliquée. »
Il s’interroge aussi sur la stratégie adoptée pour défendre son père : « Avec le comité de soutien, nous avons sans doute parfois été maladroits. Commander un sondage sur l’affaire était une maladresse. Cela s’est retourné contre nous. Peut-être papa a-t-il tout simplement été lui aussi maladroit… Je vais aller le voir en prison. Je lui poserai des questions.»
Voir l'article sur "les avocats de la défense"