..." autant demander au pape d'avouer avoir rompu son voeux de chasteté " (L'oeil du prince)
Une fois de plus, j'étais en Corse. Je voulais oublier un peu le thème de la guerre d'Algérie...
Le réalisateur Guy Girard m'a demandé de travailler avec lui sur les Renseignements généraux...
L'histoire du juge tombé amoureux d'une prostituée...
L'exode des Pieds-noirs, fiction et interview mêlées...
Une idée du cinéaste Costa Gavras autour du thème de l'humiliation.
J'ai découvert en écrivant cette série policière les joies d'avoir à se conformer à un "cahier des charges".
Un ouvrage présentant l'histoire de la ville de Montpellier depuis sa fondation jusqu'à nos jours.
Stephan Markovic, jeune yougoslave en exil devenu garde du corps d'Alain Delon...
Des lycéens Pieds-noirs se jetant corps et âmes dans le combat perdu d'avance des derniers partisans de l'Algérie française...
Je préparais depuis longtemps un ouvrage sur les premières années de la guerre d'Algérie...
"Les affaires pénales, notamment criminelles, ont toujours constitué une sources privilégiée d’inspiration pour les auteurs de romans policiers, sans que les protagonistes de ces faits divers puissent s’en plaindre, sauf à démontrer que l’écrivain a manifesté à leur égard une volonté particulière de nuire".
Tribunal de Grande instance de Paris.
7 février 2000.
Le roman que je viens de terminer et qui devrait paraître au mois de juin raconte un fait divers politico-judiciaire qui s’est déroulé entre 1968 et 1969 : la création et la manipulation médiatique d’une rumeur sur la vie privée de Georges Pompidou, candidat à la succession du général De Gaulle, l’utilisation des ma-
-chines étatiques pour tenter de le broyer et enfin la violation délibérée du secret de l’enquête dont les pièces, truquées ou véridiques, sont exhibées sur la place publique avant même d’avoir été transmises au juge.
"L’affaire Markovic" se déroule dans une société à la charnière entre les valeurs conservatrices de la France rurale "d’avant 68" et celles, plus progressistes, d’une France en voie de modernisation.
En ce temps là, Charles De Gaulle confie : "Madame Pompidou a de bien mauvaises fréquentations, ce n’est pas convenable pour la femme d’un Premier ministre". Dans le même temps, les "gauchistes" proclament : "Il est interdit d’interdire".