..." autant demander au pape d'avouer avoir rompu son voeux de chasteté " (L'oeil du prince)
L'Histoire du Pont du Gard, du IIIème siècle après J.C jusqu'à nos jours...
Algérie 1945 : les manifestations célébrant la capitulation nazie se transforment en émeutes sanglantes...
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Le récit de la carrière de Roger Marion, ancien patron de la Division nationale antiterroriste...
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A l'occasion du centenaire de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'Etat que j'ai été conduit à retravailler sur la laïcité...
C'est à l'occasion du centenaire de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'Etat que j'ai été conduit à retravailler sur la laïcité, près de quinze ans après avoir écrit un livre sur ce thème avec François Reynaert.
Pour ce documentaire à très petit budget, l'équipe se composait de Didier Fassio tout à la fois réalisateur, cameraman, preneur de son et monteur et de moi-même qui posait les questions, portait le pied de la caméra et s'occupait de l'éclairage. Une technique de reportage d'actualité brûlante pour traiter un sujet datant d'un
siècle. Nous avons tourné la plus grande partie du sujet à Strasbourg. Là, comme dans toute l'Alsace-Moselle, la loi de séparation ne s'applique pas puisque cette zone était allemande lorsqu'elle a été votée.
Nous avons interrogé des prêtres, des pasteurs et des rabbins salariés par l'Etat et recueilli les plaintes des imams, tenus à l'écart du système car ils étaient absents lorsque Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII signèrent en 1801 le Concordat qui régit toujours les départements l'Alsace-Moselle et quelques territoires d'Outre-mer. Nous
n'avons pas oublié, de retour à Paris, de faire un tour du côté des défenseurs patentés de la laïcité que sont les Francs-maçons.
En particulier ceux du Grand Orient de France, obédience au sein de laquelle mon père avait été initié en 1934 à Sidi Bel Abbès et à laquelle il était resté affilié toute sa vie. Ce qui, pour un commissaire de police, au moins durant les années 1939 à 1945 n'était pas évident.
"Nous avons interrogé des prêtres, des pasteurs et des rabbins salariés par l'Etat et recueilli les plaintes des imams… sans oublier les Francs-maçons"