..." autant demander au pape d'avouer avoir rompu son voeux de chasteté " (L'oeil du prince)
Série d'émissions consacrées à Jean Moulin.
Portrait des Renseignements généraux...
Dans la collection "Combien de divisions ?" une radiographie de la police française...
La première affaire d'interdiction du port de "foulards islamiques" dans un lycée public.
Le titre du livre m'avait été soufflé par le président de la République Valéry Giscard d'Estaing...
La première " œuvre " que j'ai livré au public (…) A l'époque, j'étais motard...
"Les affaires pénales, notamment criminelles, ont toujours constitué une sources privilégiée d’inspiration pour les auteurs de romans policiers, sans que les protagonistes de ces faits divers puissent s’en plaindre, sauf à démontrer que l’écrivain a manifesté à leur égard une volonté particulière de nuire".
Tribunal de Grande instance de Paris.
7 février 2000.
Le roman que je viens de terminer et qui devrait paraître au mois de juin raconte un fait divers politico-judiciaire qui s’est déroulé entre 1968 et 1969 : la création et la manipulation médiatique d’une rumeur sur la vie privée de Georges Pompidou, candidat à la succession du général De Gaulle, l’utilisation des ma-
-chines étatiques pour tenter de le broyer et enfin la violation délibérée du secret de l’enquête dont les pièces, truquées ou véridiques, sont exhibées sur la place publique avant même d’avoir été transmises au juge.
"L’affaire Markovic" se déroule dans une société à la charnière entre les valeurs conservatrices de la France rurale "d’avant 68" et celles, plus progressistes, d’une France en voie de modernisation.
En ce temps là, Charles De Gaulle confie : "Madame Pompidou a de bien mauvaises fréquentations, ce n’est pas convenable pour la femme d’un Premier ministre". Dans le même temps, les "gauchistes" proclament : "Il est interdit d’interdire".